Vicomté de Cauvisson
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Vicomté de Cauvisson

Bienvenue sur les terres du Vicomté de Cauvisson
 
AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
-14%
Le deal à ne pas rater :
Apple MacBook Air (2020) 13,3″ Puce Apple M1 – RAM 8Go/SSD 256Go
799 € 930 €
Voir le deal

 

 L'une pousse et l'autre tire

Aller en bas 
3 participants
AuteurMessage
Blanche

Blanche


Messages : 30
Date d'inscription : 03/07/2010

L'une pousse et l'autre tire Empty
MessageSujet: L'une pousse et l'autre tire   L'une pousse et l'autre tire EmptyMer 7 Juil - 11:44

Exténuée par ce voyage qui n'en finit plus, la tête dodeline et retombe paresseusement dans un collier de dentelle ; tout autour de ce cou pur et nacré, perverti par l'argent et le sucre, trônent joyaux et corsage de douceurs. La plupart ont été séquestrées en Irlande lors de son dernier voyage. Et, entassés à son cou comme un rameau de pierreries, ils sont à peine visibles, à moitié cachés, et reflètent son goût des jolies choses. Des choses surtout inutiles, puisque invisibles.
Comme pour se vanter d'avoir pu, d'avoir osé, pour la seconde fois de son existence, d'avoir réussi, car c'est un véritable exploit, oui, à quitter le havre breton, le sourire s'est figé à son visage et n'en déloge plus. Elle a laissé glisser entre ses seins la chaine grise, et balloter aux roulis du carrosse la pierre qui y est suspendue.
Laighean. Un caillou sauvage, à peine travaillé, qu'elle caresse du bout des doigts pour se convaincre de sa pureté ; dessus l'homme n'y a pas apposé de domination, il est brut et neuf, et c'est cela qui lui plait. Sur la banquette de coussins moelleux, le chien geint, et elle le rabroue d'une remarque affectueuse. C'est un chien de cour, un petit King Charles déniché par delà la mer. Reconnu après leur débarquement à An tlnihear Mer, il l'avait poursuivie dans chacune de ses escapades. Je le veux, je te veux !
Et elle l'avait eu. Ou lui l'avait eue elle, mais l'important n'était pas de savoir qui avait séduit l'autre.
La sauvageonne s'était laisser dompter par un galon simple, et un petit caillou ; et au grand damne de sa ducale grand mère, elle ne cessait de geindre sur cette soudaine domestication.
Il était le symbole de son échec. Non pas que réussir lui aurait déplu, non. Mais garder cette liberté inconditionnelle l'aurait charmée, depuis son éducation à Ancenis jusqu'à la fuite en Irlande. Ce sale caractère, cette domination qu'elle exercait sur les hommes, facilité qu'elle avait à les rabrouer.
La victoire avait un goût amer.

Malmené par un soubresaut dans le carrosse, la silhouette frêle lovée contre elle aboie faiblement ; elle le fait glisser à terre pour le punir de troubler la torpeur qui l'habitait, et avec lui basculent un valet de pique et une dame de trèfle écornés, rejoignant une boite vide de macarons.
Grognement de surprise.


C'est quoi encore que ce bordel ?

Etrangeté que cette voix rauque, quand elle s'énerve, qui jaillit hors de l'habitacle de bois pour cogner à la tempe du conducteur. Margot va devoir s'habituer à ces sautes d'humeur intempestives, lorsque les aléas de la vie toquent à la porte de leur cocon doré.
Welcome in paradise.
Brusque regard en direction de sa damoiselle de compagnie, son irremplaçable Wolback, si fragile et si forte à la fois. Soeur par procuration, puisqu'elle l'a décidé, et que tout se passe toujours comme elle le veut. Elle l'aime, c'est tout choisi, et tout sera toujours bien parce que c'est comme ça et que c'est pas autrement.
Sa nouvelle merveille l'inquiète un peu.


Vous avez mal ? Est ce que vous avez mal quelque part ? La tête ? Le coeur ? L'aorte ? Est ce que tu sens que tu fait un hématome dans la tête ? Parce que des fois, on ne sent pas, mais en fait plus tard on est mort tellement c'était grave.
Est ce que tu sens que tu perds une humeur ? Faudrait peut être te faire une saignée. Elle parle plus fort. Quelqu'un sait où se trouve un médicastre ? J'aurais dû prendre mon valet de premier secours !

De dehors, une voix masculine lui répond.
- C'est une roue, Madame la Baronne.
- Qu'est ce j'en ai à foutre ?! Encore heureux qu'on ait une roue, bougre d'âne !
- C't'à dire que la roue est plus conjointement liée à vot' véhicule, d'un certain point de vue.
- Qu'entends-je ?
- Ce que je veux dire, c'est qu'il n'est pas impossible qu'au moment présent, on soit concurremment empêchés de poursuivre notre route dans les délais fixés prévisionnellement par Madame la Baronne, Madame la Baronne.
- Tu te fous de moi ?
- C'est à dire que, dans l'état actuel des choses, présentement nous sommes face à une impossibilité concrète de poursuivre notre voyage.
- C'est une farce, avoue le ?
- C'est pas une farce, c'est un accident de la voie publique. Dépêchez vous de sortir de la voiture, ça va péter.
Revenir en haut Aller en bas
Margot Wolback

Margot Wolback


Messages : 18
Date d'inscription : 03/07/2010
Localisation : Vannes, Breizh Forever!!

L'une pousse et l'autre tire Empty
MessageSujet: Re: L'une pousse et l'autre tire   L'une pousse et l'autre tire EmptyMer 7 Juil - 16:13

Conjugaison du verbe somnoler à toutes les personnes du présent... Je, tu, nous...
Les lieux sont avalées par le carrosse, les jours se suivent et se ressemblent. Et dire qu'elle espérait des rires, des larmes, de l'ambiance quoi!! Mais le temps a fait son office, les blondes se sont laissées enivrer, abrutir par la distance, la chaleur, le temps qui passe et se ressemble.
Un léger bruit qui fait ouvrir un œil paresseux.
Non, elles n'y sont pas encore, ce n'est que la truffe montée sur pattes! Margot n'arrive pas à se faire à cet attachement tellement hors sujet. Une boule de poils, sans aucune conversation, l'avantage c'est qu'il n'y a pas de répliques malencontreuses ou inopportunes! Mais bon, franchement, elle accepte le chien, car elle n'a pas le choix, croisant les doigts pour qu'il ne l'accepte pas comme étant sa bande, au point de venir '"empoiler" ses belles et rares toilettes.

Elle n'aura pas l'occasion d'aller plus avant dans ses réflexions, projetée manu militari contre la paroi avant de l'engin!
Aieuhhhhhh!!! Pas encore l'habitude de se faire trimbaler et secouer dans tous les sens. Même si c'est plus agréable que monter sur un cheval, ce qu'elle évite à tout prix!

Et là, anxiété, angoisse, de la propriétaire virtuelle de la blonde.

Vous avez mal ? Est ce que vous avez mal quelque part ?

On remarquera la sollicitude dans la voix, les gestes...
La tête ? Le cœur ? L'aorte ?

Oulààà, mais c'est qu'elle serait savante... Margot n'en doutait pas, la
Blonde attitude est merveilleuse, il n'y a pas à revenir dessus!!
Mal à la tête, sans aucun doute, mais la chaleur est prédominante au
choc reçu.
Le cœur... Le cœur n'a rien en ce moment, il est vide depuis bien
longtemps!
L'aorte... C'est quoi ça, encore un truc qui est là pour faire
souffrir??


Est ce que tu sens que tu fait un hématome dans la
tête ? Parce que des fois, on ne sent pas, mais en fait plus tard on est
mort tellement c'était grave.

Ce qu'elle note inconsciemment, c'est le trouble de sa princesse, au
point de la tutoyer d'un bloc, comme ça!!


Est ce que tu sens que tu perds une
humeur ? Faudrait peut être te faire une saignée.
Quelqu'un sait où se trouve un médicastre ? J'aurais dû
prendre mon valet de premier secours !


Mais euhhh... Si elle la laissait placer un mot! Un petit sourire pour la rassurer.

Blanche... Blanche!... Je vais bien, je ne mourrai pas, ni maintenant, ni demain... Du moins, pas à cause de ça...

Pas le temps d'en rajouter, le valet se charge de détourner l'attention princière. Hein? Que? Quoi??
Une roue. Un accident d'une banalité à mourir. Euhh, non, on a dit qu'on ne mourrait pas de suite!!


- C'est pas une farce, c'est un accident de la voie publique.
Dépêchez vous de sortir de la voiture, ça va péter.


Les blondes s'exécutent, l'une qui pousse et l'autre qui tire, on ne dira pas qui fait quoi... Les voici dans la poussière du chemin, leur blondeur et blancheur si précieûseeeeees mises à mal par le soleil flamboyant...
Margot préfère ne rien dire, la Baronne s'en charge pour deux... Pour deux et demi d'ailleurs, si on compte le chien.

Énorme dilemme... On laisse le carrosse ou on pousse??
Mon Dieu, quelle horreur, arriver au milieu de tout le gratin décoiffées, suantes, tremblantes, rouges!!!
La demoiselle se pliera aux exigences princières, mais pas au point de la porter sur son dos, c'était pas dans le contrat!
Croiser les doigts, et prier bien fort que le havre de paix soit très proche, ou qu'un beau chevalier sur son destrier viendra les délivrer de leur triste sort. Réflexion faite, deux beaux chevaliers, tant qu'à faire!!
Revenir en haut Aller en bas
Blanche

Blanche


Messages : 30
Date d'inscription : 03/07/2010

L'une pousse et l'autre tire Empty
MessageSujet: Re: L'une pousse et l'autre tire   L'une pousse et l'autre tire EmptyMer 7 Juil - 19:16

Au début, elle avait crié. Le teint pâle était devenu rouge, rouge comme le sang qui montait aux joues et faisait battre la jugulaire à chacune des syllabes. Rouge comme la colère qui l'envahissait. Et comme la langue du chien qui trainait au sol, alors que lui gisait sous le bolide inerte.

Quelle ingratitude quand je pense au nombre de fois où j'ai failli vous sauver la vie !

Le sourcil hirsute et sale du valet se retourne vers sa maitresse, interrogatif et hargneux. Elle prendrait peur, si la couronne de baronne offerte par Aliéniore ne lui offrait pas l'immunité de son rang. Don't touch the princess.
Le fait est, colère mise à part, qu'ils sont salement dans la merde. Au fin fond d'une plaine désertique, vidée d'animaux et d'air, sans protection aucune contre le soleil si ce n'est...
Clac !
L'ombrelle se déploie sous le zénith. Et dans l'ombre dentelée, la môme invite sa protégée. Elle respire à peine.
L'éventail s'agite, elle sue. Que les astres sont durs, à les punir de la sorte ! Que leur vie est difficile, est insupportable, inhu

J'en ai ma-rre ! Le pied s'abat dans la poussière brûlante. C'était pas prévu au programme, ça ne me plait pas. Vous entendez Anthelme ? Je ne suis PAS contente !

Et dans un nouveau grognement, la pétillante furie se laisse choir sur un tronc mort. Banc improvisé pour y conter ragots à la jeune blonde. A défaut de le faire sur la route...
...Non, je vous assure, il n'était pas question pour elle de se marier, c'eût été tellement cla-ssique ! Elle se contentait de butiner à droite et à gauche jusqu'à ce que l'âge la rende frip
Ça avance, de votre coté ?
...Oh oui, absolument vulgaire ! Mais elle avait été mal conseillée, ce n'était point de sa faute. Ma chère vous êtes toute en beauté, cette robe vous va à ravir, et le soleil dans vos cheveux luit d'une si charmante façon...!

Sous les débris d'une roue qui s'émiette, impuissant au carnage que son marteau dévastateur crée, le domestique s'insurge. Mutinerie rabrouée d'un claquement d'éventail sur son dos.

Mon cher, le monde se divise en deux catégories. Ceux qui réparent les roues des carrosses ; et ceux qui en profitent pour bronzer au bord des chemins. Toi, tu répares.
Amen.
Revenir en haut Aller en bas
Margot Wolback

Margot Wolback


Messages : 18
Date d'inscription : 03/07/2010
Localisation : Vannes, Breizh Forever!!

L'une pousse et l'autre tire Empty
MessageSujet: Re: L'une pousse et l'autre tire   L'une pousse et l'autre tire EmptyJeu 8 Juil - 15:04

Mhhhh, quel apprentissage du "Savoir être " princesse!!
Relever le nez en le fronçant légèrement, mais pas trop pour éviter les rides. Froncer des sourcils tout en restant bellissime... Margot regarde, ne disant rien, comme à son habitude... Déjà qu'elle ne parle pas trop, mais en plus, elle ne se sent pas suffisamment à l'aise, en phase avec ce monde pour la ramener.

Hummm, profiter de l'ombre dentelée, c'est mieux que rien... Elle s'assied à côté de Blanche, l'écoutant, apprenant... Vivent les ragots, on y apprend plein de choses, bonnes à savoir ou non, mais qui évitent les gaffes. Surtout, se souvenir des noms.


Ma chère vous êtes toute en beauté, cette robe vous va à ravir, et le
soleil dans vos cheveux luit d'une si charmante façon...!


La rougeur n'est plus due au soleil... Tortillement en règle sur le bout de bois, une soudaine écharde dans les fesses, plus surement malaise général. Au secours!! Pas de compliments, elle ne sait comment réagir...

Trugarez Demoiselle.
Mutisme obligé. Rien d'autre ne lui vient.

Le pauvre valet, qui n'est pas plus carrossier qu'elle même couturière, le pauvre donc, transpire tant qu'il peut, aggravant plutôt qu'aidant...
Le chemin, poussiéreux au possible, s'étire le long des prés, un petit bosquet là bas invite au repos quelque peu plus frais.
Sur ses pieds en moins de temps qu'il ne faut pour le dire (ou l'écrire...), bousculant l'ombrelle et sa dentelle, Margot indique du doigt l'endroit de prédilection.


Demoiselle Blanche... Princesse...
Si nous marchions quelque peu, je vois là bas ombre et fraicheur attirantes. Et peut être quelque ruisseau.

Rêvant de mettre ses pieds menus dans une fraicheur bienvenue...

Derrière le bosquet, peut être le toit d'une demeure tant cherchée, la fin du calvaire...
Revenir en haut Aller en bas
Garde de Cauvisson

Garde de Cauvisson


Messages : 33
Date d'inscription : 04/07/2010

L'une pousse et l'autre tire Empty
MessageSujet: Re: L'une pousse et l'autre tire   L'une pousse et l'autre tire EmptyJeu 8 Juil - 18:28

Il est bien connu que dans la garrigue, les bruits portent loin. L'agitation autour du carrosse avait alerté les gardes du château de Cauvisson, et un trio de trois d'entre eux finit par arriver vers les demoiselles en détresse, mené par Seurin ze bogoss.

Adissiatz donaiselas !

Déjà les deux autres gardes allaient vers le carrosse pour voir ce qui se passait, et peut-être aider ce pauvre cocher, tandis que Seurin eut une inclinaison du buste envers les deux jeunes filles.

Peut-être voudriez-vous finir le trajet à pied, le Castel de Cauvisson n'est guère loin, et nos valets pourront vous guider jusqu'à vos chambres pour vous rafraichir, et revenir prendre vos malles ?
Revenir en haut Aller en bas
Margot Wolback

Margot Wolback


Messages : 18
Date d'inscription : 03/07/2010
Localisation : Vannes, Breizh Forever!!

L'une pousse et l'autre tire Empty
MessageSujet: Re: L'une pousse et l'autre tire   L'une pousse et l'autre tire EmptyVen 9 Juil - 14:13

Ce n'était pas un ou deux chevaliers à la rescousse, mais bien trois silhouettes humaines!! Ce n'était que garde et valets, mais rien ne semblait plus beau à Margot que cette troupe qui allait les sauver d'une épreuve pire que tout, rester à brunir au soleil!!
Peut-être voudriez-vous finir le trajet à pied, le
Castel de Cauvisson n'est guère loin, et nos valets pourront vous guider
jusqu'à vos chambres pour vous rafraichir, et revenir prendre vos
malles ?

Une grimace de dépit, le reste du trajet se fera à pied, point de beau
et grand destrier!!
Mais tout accepter pour changer d'endroit!! Se rafraichir... Quels mots au sens délicieux.
Un pas puis un autre, l'est pas mal du tout le petit jeune homme, dommage qu'elle ne soit pas à son avantage.

Arrivée épique donc dans la cour de Cauvisson, les deux blondes ont intérêt à s'immerger longuement dans une baignoire pour se remettre...
Une chambre, un cagibi fera l'affaire... Mais pourvu que les bagages arrivent vite.
Revenir en haut Aller en bas
Blanche

Blanche


Messages : 30
Date d'inscription : 03/07/2010

L'une pousse et l'autre tire Empty
MessageSujet: Re: L'une pousse et l'autre tire   L'une pousse et l'autre tire EmptySam 10 Juil - 18:26

Ils lui ont été ôtés. De sa main-même, son avenir radieux, on lui a volé. Le petit temps sous les ombrages, comprenez. Malotrus qui troublent leur quiétude, ils sont venus le leur voler. A Pannecé, dans une de ses sombres colères, elle aurait réquisitionné un purgatoire mérité. Icelieu, sans l'ombre d'un quelconque pouvoir, elle laisse ses prunelles fixes exprimer leur courroux.
Crève, Charogne ! Tu vois pas que j'ai grave chaud ?

Pour Blanche, les Enfers sont les Enfers par un détail d'importance : la température. On admettra facilement que vivre sous 45°C présente quelques désavantages, l'incapacité par exemple à garder peau fraiche et laiteuse.
Or sa peau fraiche et laiteuse, après ses parents de Cholet, c'est sans doute la chose qu'elle chérit le plus au monde ; exception faite de Margot et Maeve, bien sûr. Elle sacrifierait pour la première aisément un quart d'heure à l'ombre, pour la seconde la même chose. Blanche aime sans compter.
Petite nature mise à part, la vérité était qu'il faisait bien trop chaud, en France. Cela eût été impossible, songea t'elle à mi-voix, si elles avaient été en Bretagne. Non, il fallait se trouver en territoire étranger, chez ces autochtones si particuliers, pour que le climat vire de tempéré à tropical. Et jamais, au grand jamais, pareille chose n'aurait été tolérée sous les nuages bretons ; forte de cette conclusion météorologiquement prouvée, elle partit d'un pas lent au coté de Margot, la suivant de temps à autres, car elle n'était pas habituée à ce qu'on la conduisit aussi longtemps sans carosse.
Et puis, il faisait effroyablement chaud.

Et en pénétrant le domaine, en posant pied sur la première dalle du chemin menant vers Cauvisson, d'une même supplique les âmes bretonnes s'unissent.
Priant pour une nouvelle ère de bains et rafraichissements ; sa vie ! Promit elle. Sa vie, pour un cocktail à la pomme.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





L'une pousse et l'autre tire Empty
MessageSujet: Re: L'une pousse et l'autre tire   L'une pousse et l'autre tire Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
L'une pousse et l'autre tire
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Vicomté de Cauvisson :: Les extérieurs :: La cour-
Sauter vers: